Exaspérée par le genre de passe-droit offert aux enfants de stars, la jeune femme, mannequin pour Chanel, avait fait du bruit sur Instagram. “Tu peux me raconter ta triste petite histoire à ce sujet (même si à la fin de la journée tu peux toujours aller pleurer sur le canapé de ton père dans sa villa à Malibu), mais que dirais-tu de ne pas pouvoir payer ton vol retour pour retrouver ta famille ?”, avait-elle notamment déclaré, piquée au vif. Comme Lily-Rose Depp, Deva Cassel est elle aussi membre des nepo babies. Si depuis, de nombreuses actrices se sont exprimées prenant la défense de leur progéniture, c’est au tour de Monica Bellucci, ce jeudi 29 juin.
“Deva dit toujours : ‘Il y a des familles de médecins, d’avocats, d’artisans… et des familles d’artistes.’ Deva respire cinéma, vit cinéma depuis toujours : à la maison, on parle de films, de plateaux de tournages, explique l’actrice italienne. Elle fera peut-être autre chose plus tard, qui sait ? Mais quand on est ‘enfant de’, vous savez, la barre se place encore plus haut.” Si la jeune femme de juste 18 ans semble donc avoir la tête bien faite, elle excelle aussi sur les podiums comme récemment au défilé Jacquemus, qui se tenait au château de Versailles. Sous les yeux de sa mère, et de sa belle-mère Tina Kunakey, elle a fait un sans faute au milieu des noms que le milieu s’arrache, Gigi Hadid ou encore Kendall Jenner.
Deva Cassel peut compter sur ses parents pour la protéger. Ainsi, Monica Bellucci a beau parcourir le monde dans le cadre de ses activités professionnelles, elle tient à rester au plus près de ses filles, Deva, mais aussi la plus jeune Léonie, née en 2010. Celle qui partage désormais sa vie avec Tim Burton, le fait savoir dans les colonnes du magazine au moment d’évoquer ses prochaines vacances. “Je pars… quelque part ! Vous savez, je vis à Paris, j’ai un passeport italien, et je travaille avec des réalisateurs un peu partout dans le monde, mais je n’appartiens à aucune famille de cinéma, dit-elle. Mais je fais attention à ne pas trop voler de temps à mes filles. Léonie a 13 ans, elle a encore besoin de moi, et moi d’elle, et même si Deva travaille, et voyage beaucoup, j’ai besoin de la voir dans les yeux. Alors je ne pars jamais longtemps. Je vais, je reviens.”
