A l’instar de Léa Salamé qui a récemment remporté le TV Notes 2023 de la meilleure animatrice de la saison avec Quelle époque ! son émission à succès sur la 2. Une jolie consécration pour la maman de Gabriel. “Je suis stupéfaite ! (rires)”, avait révélé l’ex-acolyte de Laurent Ruquier auprès de nos confrères de Puremedias.com en juillet dernier.
Mardi 15 août 2023, Léa Salamé s’est immortalisée tout sourire à Nonza sur l’Île de beauté. L’occasion pour elle de dévoiler l’une de ses nouvelles adresses coup de coeur. S’étant arrêtée dans un bar à vin – restaurant baptisé Da Noi, la consoeur de Christophe Dechavanne en a pris plein les yeux avec sa vue à en couper le souffle. Lunettes de soleil sur le nez, elle a misé sur un bel ensemble bleu très coloré qui lui allait à ravir !
“Lieu magique, repas incroyable, moment de grâce”, a assuré Léa Salamé en vantant les mérites de l’établissement. Dans ce cadre idyllique à l’allure d’une carte postale, la fille de Ghassan Salamé semble avoir été comblée à tous les niveaux. Celle qui est constamment sur tous les fronts est visiblement heureuse de pouvoir lever le pied. A tout juste 43 ans, elle peut se targuer de s’être brillamment fait un nom dans l’univers des médias. Passionnée par son métier en plus d’être ambitieuse, la principale concernée est une véritable boulimique du travail. Au quotidien, elle-même se définit comme “impatiente” ou “trop spontanée”.
“J’ai peur du vide, peur de l’échec. J’ai toujours peur de rater. Je n’arrive toujours pas à accepter que l’échec fasse partie du chemin. J’aimerais me libérer davantage du regard des autres. J’apprends. Je progresse ! C’est sans doute lié à l’enfance”, avait reconnu Léa Salamé auprès des équipes de Gala en 2020. Et de renchérir : “A mon père qui était extrêmement exigeant avec ma soeur et moi.” Le culte de l’excellence, elle ne le connaît que trop bien : “Par exemple, quand il a reçu mon premier bulletin de notes de sixième qui était moyen, il en fait une boule au milieu du salon et a joué au foot avec, en s’exclamant : ‘C’est nul !’ Le ‘moyen’ ou le semi-échec étaient pour lui inacceptables. Il a éduquées ses deux filles comme des garçons. Il voulait que nous soyons indépendantes financièrement, c’était une obsession chez lui.”
