Depuis qu’elle a été élue Miss France 2001, il y a 23 ans, Élodie Gossuin a rarement eu une minute à elle. Entre divers projets professionnels, la belle blonde a cependant trouvé l’amour auprès du mannequin Bertrand Lacherie (qu’elle a épousé en juillet 2006) et est devenue maman de quatre enfants : Jules et Rose, nés en décembre 2007 ainsi que Léonard et Joséphine, nés en octobre 2013 (deux paires de jumeaux).
Transparente sur sa vie de famille, l’ancienne reine de beauté n’a jamais caché avoir connu des moments très difficiles lorsque ses enfants étaient petits. Interrogée par nos confrères de Public, à l’occasion du nouveau numéro paru le 21 juillet 2023, elle a de nouveau évoqué son emploi du temps bien chargé.
Si elle peut compter sur le soutien sans faille de son mari, Élodie Gossuin admet tout de même avoir une énorme charge mentale. Une situation qui a parfois pesé lourdement sur son couple. “Les cinq premières années, je ne compte pas les jours où je n’ai même pas eu le temps de prendre une douche ! Les nuits sans dormir, à se réveiller excédée, à ne même plus pouvoir s’adresser la parole avec Bertrand…”, a-t-elle raconté avec la franchise qui la caractérise. Fort heureusement, les choses ont désormais bien changé. Âgés de 15 et 9 ans, les quatre enfants du couple peuvent désormais être un peu plus indépendants et les tourtereaux s’accordent plus de temps.
Malgré tout, le quotidien reste encore fatigant, d’autant plus qu’Élodie Gossuin a moins de patience qu’il y a quelques années. “C’est pas facile. Je peux avoir des moments de faiblesse, faire une crise de nerfs, ne plus rien gérer, avoir besoin d’aide. Mais globalement ça roule. Mon entourage est habitué à mon métier. Les petits me demandent mon emploi du temps. Ils ont besoin d’être rassurés et ils savent à peu près quand je vais être là ou pas là”, a-t-elle ajouté avant de remercier ses proches pour leur aide précieuse : “Je peux toujours solliciter de l’aide auprès de Bertrand et j’ai la chance d’être dans le même village que mon frère, ma soeur et mes parents. Il y a une vraie solidarité familiale ! (…) La charge mentale est très lourde, mais je ne suis pas seule à gérer. Et aujourd’hui, à 9 ans pour les petits et 15 pour les grands, on respire mieux…”