Deux sujets qu’elle a finalement abordés ce lundi dans un portrait pour Libération. Expliquant qu’elle est une mère “heureuse” d’un jeune homme “en fin d’études” sans aborder plus loin le sujet, l’humoriste a cependant révélé qu’elle était aussi heureuse “de ne plus pouvoir l’être”. “Le fait d’avoir 50 ans et, depuis un an, de ne plus avoir d’utérus, ça m’a libéré de quelque chose. Je suis sortie de la matrice, de ma fonction reproductrice. Mon corps n’appartient plus qu’à moi”, a-t-elle-même précisé, avec sa franchise habituelle.
Pas question de parler plus de son corps, qu’elle entretient “avec discipline” mais plus des mots, de ce qu’elle dit, ce qu’elle pense et ce qu’elle revendique. Et dans ce sujet, il y en a un qui la connait mieux que tout le monde : son compagnon depuis plus de vingt ans, Benoit Cambillard, ancien camarade de classe, devenu son co-auteur et qui travaille dans l’ombre.
Un homme rare, mais qui a accepté de se confier.
Une femme libre, qui reviendra sur scène à la rentrée pour son nouveau spectacle, Le Monde d’Après. Un show, toujours écrit en collaboration avec complice Benoit Cambillard, qui sait parfaitement la comprendre et qui abordera sans doute ses sujets de prédilection : la politique, la religion… et sans doute un peu de l’actualité dont elle est si friande sur Twitter !