Une arrivée remarquée à l’Élysée
En novembre 2007, Carla Bruni a fait sensation en devenant la première dame de France après ses fiançailles avec Nicolas Sarkozy. Près de 20 ans plus tard, leur couple continue de fasciner, mais son arrivée à l’Élysée n’a pas été exempte de maladresses.

La controverse de la « blanche colombienne »
Dans une vidéo YouTube, Carla Bruni s’est confiée sur des moments particulièrement gênants survenus lors de son mandat. L’un d’eux concerne la sortie de son album où elle mentionne la « blanche colombienne » dans la chanson « Tu es ma came ». Cette métaphore a suscité l’indignation, notamment d’un ambassadeur de Colombie qui lui a fait part de son outrage.
Des excuses nécessaires
Face à la réaction de l’ambassadeur, qui lui a fait savoir qu’il était choqué par son allusion à la cocaïne, Carla Bruni a dû présenter des excuses. Elle a partagé ses sentiments de gêne et sa surprise face à cette réaction. « J’étais très embêtée d’avoir offensé un ambassadeur et éventuellement des personnes colombiennes », a-t-elle déclaré, soulignant la difficulté d’être sous les projecteurs.
Ces anecdotes peinent à montrer que même les figures publiques les plus élégantes peuvent vivre des moments difficiles. Carla Bruni a réussi à transformer ces expériences en leçons, naviguant à travers les eaux troubles de la vie politique avec grâce, même si cela signifiait parfois être au cœur de la controverse.